Poésies complètes (French Edition)

Poésies complètes (French Edition)

Language: French

Pages: 60

ISBN: B004TW3F0M

Format: PDF / Kindle (mobi) / ePub


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Radieuse, au sein des grandes mers Tu surgiras, jetant sur le vaste Univers L'Amour infini dans un infini sourire ! Le Monde vibrera comme une immense lyre Dans le frémissement d'un immense baiser ! – Le Monde a soif d'amour : tu viendras l'apaiser. …………………… IV Ô splendeur de la chair ! ô splendeur idéale ! Ô renouveau d'amour, aurore triomphale Où, courbant à leurs pieds les Dieux et les Héros, Kallipige116 la blanche et le petit Éros117 Effleureront, couverts de la neige des roses,.

Dit. Ne pas porter au monde mes dégoûts et mes trahisons. Allons ! [80] La marche, le fardeau, le désert, l'ennui et la colère. À qui me louer ? Quelle bête faut-il adorer ? Quelle sainte image attaque-t-on ? Quels cœurs briserai-je ? Quel mensonge dois-je tenir ? – Dans quel sang marcher ? Plutôt, se garder de la justice. – La vie dure, l'abrutissement simple, – [85] soulever, le poing desséché, le couvercle du cercueil, s'asseoir, s'étouffer. Ainsi point de vieillesse, ni de dangers : la.

Donneras-tu ? Il ne peut pas. J'ignore son idéal. Il m'a dit avoir des regrets, des espoirs : cela ne doit pas me regarder. Parle-t-il [115] à Dieu ? Peut-être devrais-je m'adresser à Dieu. Je suis au plus profond de l'abîme, et je ne sais plus prier. � S'il m'expliquait ses tristesses, les comprendrais-je plus que ses railleries ? Il m'attaque, il passe des heures à me faire honte de tout ce qui m'a pu toucher au monde, et s'indigne si je pleure. � – Tu [120] vois cet élégant jeune homme,.

Nichée Dans les lilas Noirs et frais : la vitre cachée, Qui rit là-bas… Tu viendras, tu viendras, je t'aime ! Ce sera beau. Tu viendras, n'est-ce pas, et même… Elle – Et mon bureau32 ? Vénus anadyomène33 Comme d'un cercueil vert en fer blanc34, une tête De femme à cheveux bruns fortement pommadés D'une vieille baignoire émerge, lente et bête, Avec des déficits35 assez mal ravaudés ; Puis le col36 gras et gris, les larges omoplates Qui saillent ; le dos court qui rentre et qui.

Beau soir, foin des62 bocks63 et de la limonade, Des cafés tapageurs aux lustres éclatants ! – On va sous les tilleuls verts de la promenade. Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin ! L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ; Le vent chargé de bruits, – la ville n'est pas loin, – A des parfums de vigne et des parfums de bière… II – Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon D'azur sombre, encadré d'une petite branche, Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond.

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